Chère Sylvie, Arnold et moi te présentons ainsi qu‘á tes proches nos sincères condoléances suite à la disparition de ta maman. Nous nous souvenons encore de votre dernière Visite á Tübingen.
Je garde de Colette l‘image d‘une femme adrette,
bienveillante et souriante. J‘ ai encore dans l‘oreille sa voix et son rire dont tu as partiellement hérité.
Si tu la regrettes profondément, pense aussi que ces derniers mois étaient très éprouvants et douloureux et qu‘elle a mérité et peut-être même souhaité ce repos avec l‘espérance de rejoindre ton papa. Nous t‘embrassons très fort et je te recontacterai prochainement, Yveline